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Sous le titre « Agrobusiness, conflits d’intérêts et mauvaise gestion », il épingle les mêmes acteurs et mécanismes à l’oeuvre aujourd’hui pour le barrage de Sivens, avec les conséquences que l’on vient de voir.L’article décrit « une gestion locale faisant fi de toute opposition », l’absence de débat public, l’opacité des décisions. Il décrit le mécanisme des « concessions d’aménagement » au profit d’une société anonyme d’économie mixte, la CACG. Le conseil d’administration de cet aménageur est présidé par le vice-président du conseil général du Tarn, et est composé, selon l’article, de « barons du PS et du PRG ».
Passage en force, sur-dimensionnement du projet, absence de rentabilité économique, dégâts environnementaux, défense des intérêts de l’agro-business, confusion des responsabilités politiques et économiques, …
Si l’on remplace l’agro-business par le surf-business et le golf-business, ce système de gestion locale n’évoque-t-il rien dans les Landes ?
Citoyens, élus, journalistes, n’est-il pas temps de dire la vérité et d’éradiquer ces modes de fonctionnement ?
