Le dialogue territorial réinvente l’histoire sans fin. Initialement prévue en décembre 2015, puis repoussée en janvier 2016, la fin du dialogue fut reportée en mai, puis en juin… Le leitmotiv de Monsieur Kerrouche étant: s’il n’y a pas d’investisseurs à la fin du dialogue, le problème est réglé: pas besoin de référendum, le projet est abandonné. Aujourd’hui le porteur, par un tour de passe passe, transforme la fin du dialogue en fin de la seconde phase du dialogue qui s’achève donc en juin, avant d’ouvrir sur une troisième ?… Ces prolongements à répétition témoignent-ils donc d’une vraie volonté de dialoguer sur l’opportunité de ce projet ou de l’absence d’investisseurs privés ?